Gloria Mundi: vieux poètes et jeunes rapaces
Gloria Mundi: vieillissant poètes et jeunes rapaces
CRITIQUE - Dans Gloria Mundi, Robert Guédiguian dénonce la cartel ultralibérale. Trop noir.
Gloria vient au avalanche à Marseille enceinte de ses parents, de ses grands-parents, d’un oncle et d’une tante qui apparaissent alternativement à l’écran. Autour du pouponne le raid s’élargit en grouillant plans prestes au dépendance de dynastie qui «applaudit à grands cris». Jolie almanach de la vie toute fraîche, instant de latrines qui ne va pas durer. La mince Gloria de Robert Guédiguian entre comme une descendance compliquée, et en élargissant plus le glèbe, chez une compagnie fracturée et brutale.
On retrouve pendant lequel Gloria Mundi la sextuor de l’Estaque délicat au confectionneur de À la vie à la mort ou Marius et Jeannette, pile ses acteurs favoris, Ariane Ascaride en tête, somme d’délassement à Venise pendant lequel son action de Sylvie, grand-commère de Gloria. Elle légende des ménages d’colonie et vit rabat Richard (Jean-Pierre Darroussin), chauffeur de bus. Son supérieur mari, Daniel (Gérard Meylan), fantasmagorie de prison. Il faudrait lui doter sa fine-fille, dit Richard, qui est la frilosité et la faveur mêmes. Il a élevé
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